Il y a 1 siècle, Freud mettait en lumière les névroses et autres pathologies mentales qui des années plus tard, font encore les choux gras de la psychologie. À contre-courant de ce mouvement, la psychologie positive cherche aujourd’hui à comprendre ce qui rend les gens heureux. Et au centre de leurs théories, l’optimisme apparaît comme l’une des attitudes indispensables à adopter pour y parvenir. Seulement voilà, face au scepticisme ambiant, il jouit d’une assez mauvaise réputation qui le place d’entrée du côté de l’illusion, du déni, ou d’une idéalisation forcée. Néanmoins, il existe un juste milieu qui permet d’adopter un optimisme raisonnable, clé de voûte indispensable pour marcher vers le bonheur.